Deviendrais-je politiquement correct ?... mon dieu j'égare, j'éparpille, j'atomise mon sarcasme

Publié le par M A B

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J
<br /> j'ai ecris à lire pas a gober..juste à lire..je ne suis absolument pas ok avec tout..il est trop figé sur une esthetique politique..et a du mal a admettre la masse et l'abrutissement<br /> qui va avec..je crois qu'il a encore trop d'espoir dans la faculté de joie,et de liberté des hommes..nous sommes tous des moutons.<br /> <br /> <br />
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J
<br /> Le rôle que se donne Ranciére est de fonder une pseudo-esthétique critique contre toute velléité de lecture sémiologique de l'image. Ses arguments égalitaires et anti-culturels, sa constitution<br /> individuelle d'une expérience sensible de l'image qui serait les prémisses d'une "émancipation" forment un cocktail réchauffé des esthétiques romantiques du 19éme siécle.<br /> <br /> <br />
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J
<br /> Ce qui me géne dans ce type d'images, c'est qu'elles ne mettent rien en correspondance. Sous prétexte de réalité brute,elle renvoie le spectateur à une position morale simpliste : par un étrange<br /> lien de cause à effet, il serait acteur du contenu de l'image.  L'absence de décryptage dans la présentation de l'image (le fait isolé d'un contexte et de l'histoire) permet d'évacuer les<br /> chaines potentielles de responsabilités ou de causalités.<br /> <br /> <br />
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M
<br /> «Celui qui voit ne sait pas voir» : cette présupposition traverse notre histoire, de la caverne platonicienne à la dénonciation de la société du spectacle. Elle est commune au philosophe qui veut<br /> que chacun soit à sa place et aux révolutionnaires qui veulent arracher les dominés aux illusions qui les y maintiennent.<br /> Certains emploient explications subtiles ou installations spectaculaires pour montrer aux aveugles ce qu'ils ne voient pas. D'autres veulent couper le mal à sa racine en transformant le spectacle<br /> en action et le spectateur en homme agissant.<br /> Les études réunies ici opposent à ces deux stratégies une simple hypothèse : le fait de voir ne comporte aucune infirmité ; la transformation en spectateurs de ceux qui étaient voués aux<br /> contraintes et aux hiérarchies de l'action a pu contribuer à bouleverser les positions sociales ; et la dénonciation de l'homme aliéné par l'excès des images a d'abord été la réponse de l'ordre<br /> dominant à ce désordre. L'émancipation du spectateur, c'est alors l'affirmation de sa capacité de voir ce qu'il voit et de savoir quoi en penser et quoi en faire.<br /> En examinant quelques formes et débats de l'art contem­porain, ce livre tente de répondre aux questions : qu'en­tendre par art politique ou politique de l'art ? Où en sommes-nous avec la tradition<br /> de l'art critique et avec le désir de mettre l'art dans la vie ? Comment la critique militante de la marchandise et de l'image est-elle devenue l'affirmation mélancolique de leur toute-puissance ou<br /> la dénonciation réactionnaire de l'«homme démocratique» ?<br /> <br /> <br /> c'est pas de moi  c'est de ranciere..un livre a lire<br /> <br /> <br />
L
<br /> Très touchante cette image.<br /> <br /> <br />
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M
<br /> je ne sais pas..et je ne suis absolument pas à l'aise des qu'il faudrait etre serieux..alors elle  est ainsi..mais c'est le type qui est touchant et qui a avalé et digeré son<br /> orgueil..contrairement à nous<br /> <br /> <br />
I
<br /> ben c'est mieux quand c'est dit <br /> <br /> <br />
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M
<br /> ben alors la je ne suis pas ok..il faut laisser la place au doute..et j'aime assez qu'on me prenne pour un salaud..ce que je suis..c'est mon coté réaliste provocateur<br /> <br /> <br />